La peau étant formée à 80% de collagène, son état traduit le plus souvent la perte en collagène de l’organisme.

Organisées en véritable maillage, les fibres de collagène entrent dans la structure du derme et élaborent le tissu cicatriciel et les fibres élastiques. On y retrouve du collagène de type I en grande quantité, qui lui confère fermeté et résistance, et du collagène de type III, apportant de l’élasticité. Le collagène de type II, dont il est souvent question, est celui qui constitue le cartilage. Mais, ce n’est pas tant le type de collagène lui même qui s’avère déterminant, mais bien la chaîne d’acides aminés qui le compose.

Aussi, l’hydrolysation du collagène des types I et III, provenant de la peau de poissons sélectionnés, permet d’obtenir un profil idéal d’acides aminés réunis en di et tri-peptides, qui sont parfaitement reconnus et intégrés dans le cartilage (dont le collagène est pourtant de type II). L’action de Collagène^®2SH bénéficie ainsi de façon optimale à différents tissus de l’organisme, quels que soient les types de collagène qui les constituent.

La synthèse et la dégradation du collagène sont normalement équilibrées afin de maintenir la cohésion de la peau : la synthèse du collagène est régulée par une famille de facteurs de croissance (TGF-ß) et la dégradation est, quant à elle, assurée par des enzymes appelées metalloprotéinases (MMPs). Cependant, lors du processus de vieillissement, la synthèse du collagène a tendance à ralentir tandis que la dégradation des fibres de collagène augmente. La quantité présente dans le corps diminue inéluctablement, entraînant une désorganisation de la structure du derme, une perte d’hydratation, un amincissement de la peau et l’apparition des rides.

La mise au point d’un hydrolysat de collagène totalement biodisponible a nécessité des années de recherche car les précédentes études ont montré que toutes les formes de collagène n’étaient pas égales d’un point de vue qualité et activité.