Compléments alimentaires BIOCOMPATIBLES NATURELLEMENT !

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Voici un retour d’expérience sur l’utilisation de  Collagène2SH.

Il s’agit d’un jeune homme de trente-sept ans que je suis depuis quelque temps pour une problématique vraiment particulière et qui a déjà une ostéoporose. Son parcours médical est assez complexe avec des traitements médicaux importants qu’il continue à prendre, même à moindre dose, notamment à base d’IPP et de corticoïdes. On sait que ces deux produits peuvent favoriser la fragilité osseuse. Il a eu une fracture du pied par arrachement osseux. En fait c’est comme une entorse : il a mal positionné son pied ce qui fait que le tendon a tiré sur l’os qui s’est arraché et fracturé. Ça s’est remis tant bien que mal malgré des douleurs persistantes présentent plusieurs mois après cette fracture.
Je lui ai conseillé de se supplémenter avec le  Collagène2SH pendant deux à trois mois. Il m’a recontacté assez récemment pour me dire que depuis qu’il consomme du  Collagène2SH, il n’a plus de douleurs notamment pendant la marche. Il a à présent toute sa mobilité alors que la douleur durait depuis des mois.

> Consultez la fiche technique Collagène2SH

Fervente adepte des compléments alimentaires du Laboratoire Lorica, j’avais à cœur de tester les protocoles proposés en lien avec ma grossesse.
Comme beaucoup de femmes, le premier trimestre a été synonyme de fatigue. J’ai commencé le Tonugen® à 2,5 mois de grossesse. J’ai ressenti un soutien d’un point de vue de l’énergie au bout de 3 semaines, notons que Tonugen® contient du calcium, du phosphore, du magnésium et de nombreuses vitamines. Bien sûr, en parallèle, en tant que sportive, j’ai aménagé mes séances de sport, mais j’ai tout de même pu continuer à mon rythme, sans cesser de travailler et sans devoir faire des siestes de 2h chaque jour !
J’ai poursuivi cette prise tout le post-partum et même jusqu’à l’arrêt de l’allaitement. J’ai pu conserver mon activité professionnelle jusqu’à 7,5 mois de grossesse tout comme le sport ! J’ai commencé à raison de 2 cuillères à café par jour pendant 1 mois puis poursuivi à 1 cuillère à café par jour.

A partir du 6ème mois, mon petit ventre commençant à s’arrondir, j’ai commencé le Collagène2SH pour entretenir ma peau, grâce à la vitamine C, et favoriser la souplesse normale des tissus conjonctifs, grâce aux cuivre et manganèse (en vue d’un projet d’accouchement physiologique). Résultat = une peau soutenue et impeccable sans vergeture et 0 déchirure.
Au cours du dernier mois de grossesse, j’ai consommé le probiotique Myriaflor® afin de favoriser l’implantation de bonnes bactéries et de soutenir l’équilibre de ma flore intestinale en vue de l’accouchement par voie basse. J’ai commencé au 8ème mois et poursuivi pendant toute la durée de l’allaitement.

Toute ma grossesse s’est parfaitement déroulée ainsi que l’accouchement et la mise en place de l’allaitement.
La grossesse est une étape bien particulière dans la vie et pour le corps d’une femme, l’alimentation à elle seule ne peut, malheureusement de nos jours, couvrir l’intégralité des besoins accrus de cette période. C’est pourquoi je conseille et recommande vivement ce type de protocole à mes consultantes en les adaptant bien sûr aux besoins de chacune.

> Consultez la fiche technique Collagène2SH

> Consultez la fiche technique Tonugen®

> Consultez la fiche technique Myriaflor®

Récit d’une nouvelle expérience suite la consultation d’une femme de 42 ans qui se présente au cabinet avec des douleurs type tendinopathie au fibulaire qui durent depuis presque six mois suite à des entorses qui avaient été mal soignées.
Cette femme pratique la course à pied et des cours de fitness en salle de sport “, les contraintes mécaniques sont importantes sur ses articulations et peut être même inappropriées compte tenu de sa constitution de base, en effet elle est d’un gabarit plutôt fin.
Elle a un terrain fragilisé à cause des différents impacts puisque ça lui arrive de courir dans les chemins et des zones un peu bitumées.
Cette jeune femme a déjà fait des séances de kiné avec des ondes de choc qui n’ont pas donné de résultats probants.
Elle porte des semelles et est équipée de chaussures de qualité.
Elle me consulte sur les conseils de la coach de la salle de fitness.
Le questionnement habituel rend compte que l’assiette n’est pas optimale avec une consommation de produits laitiers, surtout du lait de vache, et aussi une consommation assez importante de viande rouge (viande rouge pro-inflammatoire avec l’acide arachidonique etc…)
Par conséquent, on met en place une consommation un peu plus importante d’omégas 3 au travers d’huiles d’assaisonnement directement dans l’assiette et de petits poissons gras. On met en place aussi des oléagineux et un petit déjeuner salé, etc…
D’un point de vue micronutrition je pars sur du Collagène2SH, Régénum® et huile de Krill avec les doses suivantes : 2 sticks de Collagène2SH, 2 sticks de Régénum® et 4 capsules d’huile de Krill par jour.
Un mois après, elle a réussi à mettre en place les recommandations d’un point de vue de l’alimentation, excepté l’arrêt de consommation de viande rouge qui lui paraît trop contraignant.
Par contre elle a réussi à remplacer peu à peu les produits laitiers bovins vers la chèvre et la brebis puisqu’on n’était pas sur un régime d’éviction. D’un point de vue de l’assiette, il n’y a finalement pas grand chose qui a changé. Les douleurs sont toujours présentes mais quand même un peu moins importantes.
Je lui explique que pour avoir de meilleurs résultats il faut continuer à améliorer l’assiette et lui propose donc de mettre en place une consommation un peu plus accrue d’oméga 3 et des bonnes huiles. J’insiste sur les assiettes colorées de saison en faisant la part belle aux légumes principalement et aux fruits.
On continue toujours sur les mêmes doses de Collagène2SH et de Régénum, par contre on passe à 2 capsules l’huile de Krill par jour.
Nouvelle consultation après deux mois et là je constate une amélioration significative d’un point de vue de la récupération et d’un point de vue de l’effort physique.
Elle ne pouvait plus faire de sortie à plus de 10 kilomètres. Elle était douloureuse sur des mouvements type squat. En cours de renforcement musculaire, elle ne pouvait plus mettre de charges sur sa barre. Au bout de trois mois on se retrouve avec une consultante qui peut de nouveau faire plus de 10 kilomètres sans avoir vraiment les jambes coupées (comme on dit dans le jargon des sportifs), sans être douloureuse au point de devoir arrêter. Elle a pu reprendre de la charge.
Donc après trois mois de consommation d’huile de Krill , Collagène2SH et Régénum associés à un ajustement de l’alimentation on se retrouve avec une consultante qui arrive de nouveau à faire des squats avec des charges, à faire des mouvements qui sollicite les chevilles, la stabilité des chevilles et les fibulaires sans douleur.
C’est une grande victoire pour elle car le sport est une soupape très importante d’un point de vue psychologique pour elle.

> Consultez la fiche technique Collagène2SH

> Consultez la fiche technique Régénum®

> Consultez la fiche technique Huile de Krill

Il s’agit d’une femme de 59 ans qui présente depuis l’âge de 30 ans des discopathies.
Elle a eu deux hernies discales opérées et souffre maintenant d’une discopathie avec un disque intervertébral complètement abîmé.
Au premier rendez-vous, nous avons réalisé un bilan naturopathique où nous avons fait le point sur son terrain, mis en place un programme combinant un réajustement alimentaire, des activités physiques adaptées et une supplémentation micronutritionnelle en vue d’enrayer les inflammations.
Je constate un bon suivi des recommandations.
Suite à une poussée inflammatoire, elle me consulte un peu en urgence pour savoir ce qu’elle peut prendre pour soutenir sa fonction ostéo-articulaire en complément du traitement prescrit par son médecin.
Pour ne pas répondre uniquement à une demande symptomatique, je propose de continuer le travail sur son terrain et de soulager ses douleurs en même temps car elle ne trouve plus de bonnes positions pour dormir. Elle souffre beaucoup, le moral commence à prendre un sacré coup.
Elle ne peut plus s’occuper des tâches quotidiennes dans sa maison, ne serait-ce que passer un coup de balai est devenu impossible, sa vie est vraiment devenue un enfer.
Je lui conseille donc Exiflam® à raison de 6 gélules par jour, 2 le matin, 2 le midi et 2 le soir. En effet, Exiflam® contient du curcuma, de l’harpagophytum et du boswellia qui sont reconnus pour aider au maintien du confort articulaire.
Au bout de quinze jours, elle me fait son retour d’un meilleur confort articulaire.
Elle a pu reprendre des mouvements, elle dort beaucoup mieux et d’un point de vue global, elle a beaucoup moins de douleurs articulaires.
Comme elle se sent beaucoup mieux dans les semaines suivantes, elle diminue tranquillement la quantité d’Exiflam® pour arriver actuellement à deux par jour.
Elle a pu reprendre ses activités. Elle fait de la marche chaque jour et reprend son petit quotidien avec le ménage à la maison qui se fait beaucoup plus facilement.
Comme c’est une jardinière et une cuisinière hors pair, elle a repris à faire ses conserves, ses compotes et pots de confitures à partir de la production de son potager pour son plus grand plaisir.
Nous continuons tout de même le travail de terrain et surtout l’activité physique adaptée. Dès lors qu’elle sentira de légers inconforts je lui ai proposé d’avoir à la maison toujours une boîte d’Exiflam® afin de refaire de petites prises ponctuelles de 3 à 5 jours en fonction de ses sensations corporelles afin de maintenir son confort articulaire.

> Consulter la fiche technique Exiflam®

Partage d’un nouveau cas intéressant sur Feralim®. Il s’agit d’une femme d’une trentaine d’années qui a une anémie persistante depuis son adolescence et que j’ai vue en février. Tous ses bilans sanguins n’ont jamais vu sa ferritine dépasser la limite inférieure, quel que soit la complémentation qu’elle a utilisée avec des formes de fer comme le fumarate, l’oxyde de fer et même le bisglycinate de fer !
Je lui ai donc conseillé le Feralim® qui contient beaucoup d’autres ingrédients comme la vitamine C, la lactoferrine, les vitamines B6 et B12, etc… d’excellents cofacteurs pour aider à l’assimilation du fer autour du bisglycinate de fer. A peine deux mois plus tard, elle a refait un bilan à l’occasion d’une visite médicale et elle se situe à présent dans les normes en ferritine pour la première fois de sa vie.
C’est la première fois qu’elle voit sa ferritine dépasser le seuil critique.

Un autre cas, celui d’une adolescente, une jeune femme à qui on a aussi décelé un très faible niveau en fer à qui on a conseillé des formes de fer qu’elle ne tolérait pas, qui s’est retrouvée avec des désordres digestifs importants, des constipations, des maux de ventre et qui s’est finalement tournée vers le complément alimentaire Feralim®. A présent sa ferritine est absolument correcte, alors qu’elle partait elle aussi de loin. Il a fallu quatre mois de complémentation qui se sont déroulés sans aucun souci digestif. Et comme l’ajoute Maeva, voilà plus de 20 ans que je conseille Feralim® et je n’ai jamais eu aucun retour de souci d’assimilation ou de désordre digestif ou d’un inconfort quelconque.

> Consulter la fiche technique Feralim®

Profitez du retour d’expérience sur l’utilisation de Fraicheur Digeste à travers le cas d’une jeune femme de 23 ans qui mesure 1m75 et pèse 50 kg.
Elle a un parcours de vie et de santé extrêmement compliqué. Elle est atteinte d’une pathologie respiratoire depuis la naissance, diagnostiquée tardivement, qui a complètement abîmé ses poumons.
Elle a passé de nombreux séjours à l’hôpital. Le système digestif aussi semble touché, ainsi que le système vasculaire.
A la première consultation, je découvre qu’elle a une sarcopénie très importante. En parallèle, elle est sous IPP depuis plusieurs années, depuis l’enfance en fait, avec une pause de quelques années à l’adolescence.
On a évidemment mis en place des choses au niveau de l’hygiène de vie et au niveau de l’alimentation et on a décidé de collaborer avec son médecin traitant pour comprendre la raison de la mise en place des IPP.
Ensemble on a envisagé un sevrage après toutes ces années d’antiacides, en sachant que l’objectif fixé était de relancer la digestion et de favoriser la prise de poids, notamment de masse musculaire. Quand on utilise des IPP on a une moins bonne digestion des protéines.
Or, quand on entame un sevrage des IPP, il peut se passer deux choses qui sont très inconfortables. D’une part, on peut avoir un relargage d’histamine qui est extrêmement important et qui peut générer justement une sensation de brûlure, d’inconfort, etc. Et en même temps, une sécrétion anarchique d’acide chlorhydrique à des moments qui ne sont pas opportuns, c’est à dire pas reliés à l’alimentation, en fin ou au moment de la prise des repas.
Je lui ai conseillé d’utiliser de manière ponctuelle Fraicheur Digeste à raison d’une cuillère à café dès qu’elle en sent le besoin lors de son sevrage qui s’est déroulé d’une manière très progressive.
Ce dosage permet aux personnes d’écouter leur corps et d’ajuster la dose en fonction de leurs besoins, sans dépasser la dose recommandée évidemment.
On vise ainsi à limiter les inconforts digestifs qui sont liés au sevrage tout en favorisant la relance de la digestion avec la mélisse et la chicorée, avec dans l’idée aussi d’aider à rééduquer le système digestif.
Cela fait maintenant plusieurs mois qu’elle est sevrée et elle a même pu reprendre du poids. Les résultats sont finalement arrivés assez rapidement. Elle n’est pas encore à un poids de forme, bien évidemment, mais par contre l’évolution est belle ! C’est très encourageant.

> Consulter la fiche technique Fraicheur Digeste

Voici le cas d’un homme de 70 ans qui présente des pics de tension pouvant aller jusqu’à 16. Il a passé un électrocardiogramme et un test d’effort Holter après avoir consulté son médecin et un cardiologue.

Après tous ces examens, il n’y a rien d’un point de vue de la physiologie, tout est bon mais il présente toujours ces pics de tension mesurés au tensiomètre sur les quelques jours de suivi. Il est sujet aussi à des vertiges et ressent des fourmillements. Sa tête bourdonne, ce qui est tout à fait normal quand on fait des pics de tension.
Son médecin traitant lui a prescrit un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC). Malgré ce médicament, il fait toujours des pics de tension.

Après étude du terrain et de sa situation, je m’aperçois que c’est un Monsieur qui reste très sensible malgré son âge. Il est très émotif.
Je m’oriente donc vers la question de la tension nerveuse. Il a tendance à ruminer très facilement. Il est aussi sujet aux réveils nocturnes. Il faut savoir aussi qu’actuellement il est en procédure de divorce.
Il n’a jamais eu de précédent de pics de tension, en fait, il faisait même de l’hypotension quand il était plus jeune. La piste de la tension nerveuse et compte tenu de sa sensibilité me mène à lui proposer de prendre Germag® pour favoriser l’équilibre nerveux grâce au magnésium. De plus Germag® contient aussi des co-facteurs intéressants dans le cadre de la gestion de la fatigue. Je lui conseille également GABAsource pour favoriser la relaxation, la prise de recul et temporiser l’activité neuronale un peu trop importante (grâce au GABA qui est l’un des neurotransmetteurs les plus présents dans notre organisme).

Il prend donc la dose suivante : 2 Germag® et 2 GABAsource le matin et 2 Germag® et 2 GABAsource le soir également. Je n’ai pas jugé utile de donner une dose maximale parce qu’il n’avait pas de gros troubles du sommeil. Après 15 jours j’ai de ses nouvelles et il m’envoie un message pour me dire que ça a été fabuleux parce qu’il n’a plus du tout ses sensations de vertige.
La tension s’est stabilisée ensuite vers une tension “classique” à 12-13 avec un maximum à 14 alors qu’il pouvait monter sur des pics qui étaient bien plus importants.
Il ressent beaucoup moins de fourmillements et arrive à prendre du recul plus facilement. Il arrive à gérer beaucoup mieux ses états émotionnels, ce qui lui a permis également d’avancer plus sereinement par rapport à son divorce aussi parce qu’il avait du mal à mettre des choses en place. Il tournait en rond sur certaines choses et il a réussi à “passer à l’action”.
L’agitation mentale a bien diminué et de fait il m’a rapporté se sentir mieux dans sa tête et dans son corps.

> Consultez la fiche technique GABAsource

> Consultez la fiche technique Germag®

Voici un témoignage concernant un suivi pour une fatigue qui traine…
Une femme de 57 ans qui est venue me voir suite à un rendez-vous avec son médecin traitant pour une fatigue qui se chronicisait. Il lui a réalisé des bilans sanguins, dont les mesures thyroïdiennes.

Il est ressorti que ses bilans étaient vraiment en dessous de ce qu’on estime être les normes santé. Cela dépassait même les normes de laboratoire.

Elle a été diagnostiquée hypothyroïdienne par son médecin et donc, elle a fait appel à moi pour essayer de voir s’il était possible d’améliorer des choses. Au niveau de l’hygiène de vie, franchement, tout avait déjà été mis en place sur le plan alimentaire. Il y avait de l’iode dans l’assiette, il y avait la douzaine d’huîtres tous les dimanches avec son mari, le petit-déjeuner protéiné, l’activité physique, etc.

Par conséquent, on n’a rien eu à toucher concernant son hygiène de vie et on a mis en place le Loritirol® à raison de trois gélules par jour. Dans les faits, elle a choisi de ne consommer que deux gélules le matin.
On s’est revues deux mois et demi plus tard. Lorsqu’elle m’a indiqué qu’elle avait fait un bilan hormonal au bout de deux mois et qu’elle n’avais pris que deux gélules par jour, je me suis dit “on ne va rien voir” et en fait ça a été assez incroyable, elle n’a opté que pour deux gélules car avec cette quantité elle ressentait déjà une amélioration au bout de cinq à sept jours en termes d’énergie et de vitalité.

Et donc, elle revient avec d’excellentes nouvelles, tout lui semblait normal. Elle a continué son hygiène de vie ainsi que la prise de 2 gélules de Loritirol® jusqu’à la fin du troisième flacon. Elle aura ainsi consommé du Loritirol® pendant trois mois au total.

Elle a ensuite arrêté la complémentation , ça fait déjà plusieurs années maintenant. C’était tout au début de la commercialisation du Loritirol®. J’ai eu de ses nouvelles part son mari que je suis actuellement : elle se sent en pleine forme et elle n’a jamais eu besoin de reprendre ce complément alimentaire.

En tout cas, pas jusqu’à présent et elle sait qu’elle peut le prendre en autonomie si jamais elle sent à un moment donné que la fatigue la gagne et que son bilan se « détériore ».

> Consulter la fiche technique Loritirol®

Voici un nouveau retour d’expérience avec Loritirol®, pour un thème complètement différent. Il s’agit d’une jeune femme qui est en proie à ses émotions depuis très longtemps, qui a un caractère hypersensible avec des alternances d’humeur très compliquées à gérer. Tout ceci est orienté vers une tendance à la déprime qui peut parfois se manifester par des accès de colère, etc..
Elle a commencé un suivi avec un psychiatre qui lui a conseillé des anxiolytiques et des somnifères pour favoriser son sommeil très perturbé.
Sans amélioration, elle me consulte et commence le suivi en naturopathie.
Effectivement, à la lumière de ce qu’elle me disait, je me suis rendu compte que ces troubles ne venaient pas forcément du système nerveux en lui-même. On était plutôt sur l’axe thyroïdien et la clinique montrait que la thyroïde était à soutenir, en sachant qu’elle avait souvent froid, qu’elle prenait du poids, qu’elle a une tendance à la constipation et de plus qu’elle a des calculs au niveau de la vésicule biliaire.
En parallèle, la psychiatre lui a conseillé d’autres médicaments, dont des antidépresseurs et a essayé de varier les molécules parce que rien ne l’améliorait.
On a donc mis en place le Loritirol®  à raison de 3 gélules par jour. La particularité de Loritirol®  est qu’il contient du sélénium pour soutenir la fonction thyroïdienne et de la gomme de guggul pour favoriser l’équilibre des hormones thyroïdiennes.
La bonne nouvelle, c’est qu’à partir du moment où on a commencé à soutenir la thyroïde, bien des choses se sont mises en place, avec notamment un regain d’énergie, alors qu’elle avait plutôt tendance à se sentir fatiguée et assommée par les médicaments d’après son ressenti.
Elle a pu reconnecter son énergie à sa vitalité, à sa créativité, et prendre beaucoup plus de recul par rapport aux émotions qu’elle ressentait.
C’est comme si, en fait, elle se reconnectait à la vie.
Lors de la dernière consultation elle me disait qu’elle souhaitait entreprendre un projet bébé !

> Consulter la fiche technique Loritirol®

Encore un nouveau retour d’expérience sur l’utilisation de Loritirol® pour une jeune femme qui a eu un parcours extrêmement compliqué en lien avec la fertilité et la conception.
Cette femme de 30 ans a eu neuf fausses couches et n’a jamais réussi à avoir d’enfant. Quand on a fait l’entretien elle présentait tous les signes de l’hypothyroïdie ; c’est à dire les gains de poids inexpliqués sans avoir changé de régime alimentaire qui était relativement approprié, la frilosité et le point le plus marquant, la difficulté à se lever le matin pour commencer la journée ou se lancer dans l’action. C’était extrêmement présent chez elle. Elle perdait aussi facilement ses cheveux et on pouvait voir que le métabolisme était aussi un petit peu ralenti avec une tendance à la constipation. Ses analyses biologiques étaient dans les normes labo mais étaient en décalage avec ce qu’on attend des normes santé. Pour moi il y avait vraiment énormément de signes qui indiquaient que la thyroïde avait besoin d’être soutenue d’autant plus qu’il y avait ces fausses couches. On a mis en place le Loritirol® pendant trois mois à raison de trois gélules par jour, deux le matin et une le midi. Ce complément alimentaire est remarquable par 2 de ses ingrédients : du sélénium pour soutenir la fonction thyroïdienne et de la gomme de guggul pour favoriser l’équilibre des hormones thyroïdiennes. Dernièrement j’ai appris qu’elle a pu être enceinte, sa grossesse a tenu jusqu’à la fin et elle a enfin donné le jour à un ravissant bébé.

> Consulter la fiche technique Loritirol®

Voici le cas d’une jeune femme d’une trentaine d’années qui a des désordres digestifs récurrents, avec beaucoup de ballonnements, beaucoup de gaz avec des selles qui sont déchiquetées et des démangeaisons anales nocturnes. Ces signaux laissent à penser à une contamination par des parasites d’autant plus qu’elle est une fervente adepte des poissons crus. Elle est aussi victime de brouillard mental avec un terrain un petit peu allergique. Et on sait que les parasites vont avoir tendance à favoriser le terrain allergique. De plus, on sait qu’une mauvaise digestion favorise les parasites et les parasites favorisent les déséquilibres digestifs au niveau intestinal. Je lui ai conseillé de se supplémenter avec le MycoDélite®, qui contient entre autres ingrédients du clou de girofle, à raison de six gélules par jour pendant trois jours à recommencer une fois quinze jours plus tard. J’ai eu de ses nouvelles après quelques mois : son transit est à présent tout ce qu’il y a de plus normal.

Petite astuce : comme il reste quelques gélules dans le flacon de MycoDélite®, voici le conseil donné au consultant. “Vous pouvez avantageusement les garder pour les moments où vous ressentirez quelques petits inconforts au cours de l’hiver comme la gorge qui gratte, le nez qui commence à couler, la gorge qui picote, …”
Vous pouvez ainsi mesurer l’efficacité de MycoDélite® grâce à 2 ou 3 gélules réparties dans la journée, puisque MycoDélite® participe au confort des voies respiratoires et de la gorge grâce à l’extrait de clou de girofle qu’il contient.

> Consulter la fiche technique MycoDélite®

Un nouveau retour d’expérience concernant une jeune femme atteinte de mucoviscidose de 18 ans, qui est au lycée et qui a des douleurs abdominales absolument terribles et invalidantes, qui l’empêchent parfois de suivre les cours. Son taux d’absentéisme est quand même assez important avec un inconfort évidemment qui se répercute sur sa qualité de vie, qui est à prendre en compte.
Cette personne a testé beaucoup de choses au niveau de l’alimentation, au niveau de thérapies complémentaires y compris l’hypnothérapie, etc… et rien n’a jamais réussi à la soulager.
Lors de sa consultation, j’ai pensé au Myriaflor® pour ses 20 milliards de bactéries lactiques et autres, des probiotiques qui participent activement à l’équilibre de la flore intestinale. On a mis en place le Myriaflor® en gélules. Alors qu’à la base je lui avais conseillé le Myriaflor® en poudre, elle a décidé de prendre plutôt les gélules car c’était plus pratique pour elle. Je lui ai conseillé seulement deux gélules par jour le matin à jeun pendant trois semaines, puis deux gélules tous les deux jours, toujours le matin à jeun pendant six semaines et ensuite deux gélules par jour, deux fois par semaine, avec un flacon supplémentaire seulement en cas de besoin.
En fait, elle n’est même pas allée jusqu’au bout de mes conseils puisqu’elle a été améliorée très rapidement et donc elle n’a fait que les neuf premières semaines, c’est-à-dire un petit peu plus de deux mois.
Elle a constaté que dès la première semaine il y a eu des améliorations et en fait pendant tout le temps de la prise de Myriaflor® il n’y a eu que deux moments où cette jeune femme a ressenti une gêne digestive sans que ce soit pour autant de la douleur.
Elle n’avait plus du tout de douleur et c’est le seul retour qu’elle ait pu me décrire “ça n’a pas duré et c’était pas douloureux, juste gênant”. C’était dans les quinze premiers jours.
Ensuite la gêne a complètement disparu jusqu’à aujourd’hui où elle n’a plus de douleur intestinale malgré l’arrêt du Myriaflor® avec un recul de huit mois.

> Consulter la fiche technique Myriaflor®

Parcourrez le cas d’une jeune femme de 24 ans qui souffre d’acné depuis l’adolescence, et qui va se marier. A la première consultation, elle me dit « Au secours, je me marie dans trois semaines et je veux que vous fassiez disparaître ces boutons sur mon visage ». Donc, mission compliquée quand on a un regard de naturopathe puisqu’on est habitué à travailler sur le long terme, à respecter certaines étapes et surtout les rythmes du corps, et à ne pas agir de manière symptomatique.
Il y a eu premièrement tout un échange sur l’importance de travailler sur le terrain et d’avoir une vision à moyen terme, mais il y avait cette demande qui était précipitée par la date de ce jour qui devait être le plus beau jour de sa vie.
J’ai donc choisi de mettre en place le Protectum® qui est un complexe d’antioxydants sélénium-zinc-vitamine B2 et C, associé à du romarin. Les antioxydants sont très importants pour neutraliser les radicaux libres, notamment générés dans le foie suite aux différentes phases des fonctions hépatiques, phase 1 (oxydation, réduction, hydrolyse) et phase 2 (conjugaison). De ce fait, le Protectum® a un effet également sur la beauté de la peau et a fortiori les problématiques d’acné.
Le soutien du foie intervient de façon systématique dans les accompagnements quand il y a une problématique d’acné.
Je lui ai conseillé de prendre 6 gélules par jour de Protectum® en deux prises pendant 15 jours.
Ces deux semaines lui ont permis justement de constater une amélioration de sa peau, bien plus jolie visuellement, ce qu’elle a beaucoup apprécié. Donc la mission a été accomplie.

> Consulter la fiche technique Protectum®

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